Emploi, exportations, sécurité… Quand les mauvais élèves d’hier donnent une leçon au couple franco-allemand.
La stratégie de décarbonation de l’UE est une faillite qui contraste avec les succès des États-Unis et de la Chine dans ce domaine.
Sous l’effondrement financier pointe une autre débâcle non moins inquiétante : celle de l’image de notre pays en Europe et dans le monde.
Emmanuel Macron a conduit la France au bord du précipice. Pour redresser le pays, l’impulsion doit venir des Français rassemblés.
Alors que la situation économique exige une thérapie de choc, le Premier ministre poursuit la stratégie du « en même temps ».
Les États-Unis ont su déjouer la nature totalitaire et impériale du régime de Pékin. Désormais ciblée, l’Europe saura-t-elle résister?
Avec les conflits en Ukraine et à Gaza, la période de l’après-guerre froide qui s’étendit de 1989 à 2022 se révèle n’avoir été qu’un nouvel entre-deux-guerres.
La nouvelle Commission européenne se place sous le double signe du refus de l’Europe-puissance et de l’effacement de la France.
Un nouveau choc fiscal détruirait le peu de croissance, d’investissement et de création d’emplois qui subsistent tout en euthanasiant les classes moyennes et en paupérisant les Français.
Pénurie de locations, chute des mises en construction, difficultés d’accès à la propriété… Tous les voyants sont au rouge.
Alors que l’Allemagne vient de rétablir les contrôles aux frontières et que les Pays-Bas préparent une loi d’urgence sur l’immigration, la France reste le seul pays d’Europe qui ne dispose d’aucune politique migratoire.
Face au déclassement économique de l’Europe, l’ancien patron de la BCE appelle à un sursaut du continent pour relever les défis de sa croissance, de la pérennité de son modèle social, de sa défense et de ses valeurs.
L’affaire Telegram, dont son fondateur Pavel Durov s’affranchit des règles de régulation, illustre l’éclatement de la mondialisation en deux blocs, autoritaire et démocratique.
Ukraine, Moyen-Orient, Royaume-Uni, Philippines… L’été 2024 menaçait d’être meurtrier. C’était compter sans cette volonté éperdue de liberté défendue par les démocraties.
Si le nouveau locataire de Matignon est un homme d’État modéré et expérimenté qui rassure les marchés financiers, la tâche qui lui reste à accomplir n’en est pas moins ardue.