Partout, la violence se banalise et se radicalise, jusqu’à devenir sa propre fin, s’affirmant comme le principe des régimes autocratiques et comme le fondement de leur revendication d’un nouvel ordre mondial fondé sur les purs rapports de force.
Ce ne sont pas les promesses vaines de diminution du chômage ou de hausse de l’activité qui pourront rétablir nos finances publiques mais bien la réforme du modèle social.
La nomination de Gabriel Attal comme premier ministre marque une rupture. Pour la première fois, Emmanuel Macron a choisi non pas un technocrate inconnu des Français mais un responsable politique plus jeune et populaire que lui. (suite…)
La frappe du Hamas contre Israël, le 7 octobre, montre que la violence monte en intensité et change de nature.
Depuis une décennie, la natalité française ne fait que chuter. Le silence qui entoure l’écroulement des naissances en France est d’autant plus surprenant que ses conséquences sont majeures.
L’Europe a perdu toutes les batailles technologiques du XXIe siècle alors qu’elle dominait les télécommunications en 2000. Elle ne doit pas perdre la guerre de l’IA.
L’ensauvagement du monde et la prolifération de la violence imposent de repenser l’Union en termes de souveraineté et de communauté de destin.
Les résultats obtenus sur le plan économique et stratégique sont impressionnants. L’élection présidentielle américaine de 2024 marquera un moment clé dans la grande confrontation qui s’est ouverte entre empires autoritaires et démocraties avec l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
L’éducation ne relève plus en France de mesures cosmétiques mais de réformes systémiques. Dans l’économie et la société de la connaissance du XXIe siècle, la maxime de Leibniz selon laquelle « l’éducation peut tout » n’a jamais été aussi juste.
Croissance en berne, explosion du chômage des jeunes, déflation, crise immobilière… Le trou d’air de l’économie chinoise n’est pas conjoncturel mais structurel.
L’organisation des pays du sud s’inscrit dans la stratégie de la Chine, visant à construire un nouvel ordre mondial post-occidental, mais aussi post-démocratique.
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La France doit redéfinir une politique cohérente vis-à-vis de l’Algérie autour de cinq priorités.
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La principale fragilité de l’Otan provient de sa dépendance de plus en plus étroite vis-à-vis des États-Unis.
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Si la plupart des démocraties connaissent des mouvements de protestation et des épisodes violents, la France fait exception par la multiplication des mouvements et la perte de contrôle de l’ordre public par l’État.
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L’éclatement de la mondialisation a un coût très élevé en termes de pertes de croissance et d’emplois comme de hausse de la pauvreté. Ne l’aggravons pas par la polarisation idéologique des entreprises.
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