Si le pouvoir de résilience sur l’économie états-unienne, l’État fédéral est lui malade et sclérosé.
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Entre relance monétaire artificielles et réformes structurelles indispensables, le choix des États est tout trouvé.
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La crise mondiale du capitalisme continue. Les turbulences des marchés marquent l’avènement d’une nouvelle ère.
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L’Allemagne ne pourra cependant pas relever l’Union européenne sans une France qui se réforme.
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Le siècle chinois s’est levé, et le président Xi Jinping mène des politiques ambitieuses et réalistes.
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La compagnie aérienne est malade. L’État français a sa part de responsabilité.
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David Cameron a deux visages : la relance de l’économie anglaise, et le dirigeant qui laisse la question écossaise s’enliser.
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Le choc fiscal français n’aura servi à rien, et l’économie s’enfonce un peu plus, entraînant avec elle le reste de l’Europe.
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Le cercle vicieux déflationniste s’est installé. Pour la France, le seul antidote est la croissance, fille des réformes.
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Face à la défiance généralisée, à une économie sclérosée et à la montée du FN, la dissolution de l’Assemblée nationale semble une issue probable.
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La France s’enfonce dans un déni généralisé. Ses réformes sont vouées à l’échec. Le pays est l’homme malade du monde développé.
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La nouvelle mondialisation a changé la donne. Désormais, les ancien pays émergents doivent trouver une stratégie coopérative de développement.
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L’économie mondiale et les nations peuvent relever les défis de la démographie ou de l’urbanisation en faisant le pari de l’investissement.
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La possibilité d’un défaut français existe bel et bien. Notre talon d’Achille : la dette publique.
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Un rapport de France Stratégie évoque le déclin français. Face à la stagnation du pays, des mesures courageuses doivent être appliquées.
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